Groupe de spiritualité carmélitaine

« Il est vivant le Seigneur devant qui je me tiens ! »
 « Je brûle de zèle pour le Seigneur, Dieu de l’univers !« 

Cri du prophète Élie, devenu la devise de l’Ordre du Carmel.

 

À vous qui recherchez Dieu, une invitation : participer à un groupe de spiritualité carmélitaine

Le groupe de spiritualité carmélitaine s’adresse à des personnes qui ressentent un attrait pour une relation vivante avec Dieu, avec le Christ, dans la recherche du contact avec Lui, qui s’exprime en particulier dans la prière silencieuse, mais aussi par le désir intense d’une vie en Sa présence continuelle dans toutes les sphères de l’existence familiale, professionnelle, sociale, associative, ecclésiale… Le charisme spécifique du Carmel est bien celui de former à cette prière silencieuse dite « oraison »

Points forts

Dans un groupe de cette sorte, on lit ensemble une œuvre d’un maître du Carmel, dans un but pratique : « ce texte m’a-t-il aidé dans ma vie de prière, quelles sont les joies et les difficultés rencontrées… ? ». On échange, on s’exerce à un temps de prière silencieuse.

Pour rejoindre un groupe de spiritualité carmélitaine il est demandé d’accepter de s’engager pour un an à venir aux rencontres (mensuelles, env. 1 h 30), de consacrer au moins 10-15 minutes par jour à la prière silencieuse entre chaque rencontre et de lire, d’un cœur attentif, autant de fois que possible, le texte qui servira de partage à la rencontre mensuelle.

Activité locale

Il n’y a pas actuellement de groupe carmélitain à Palaiseau, mais il y en a à Paris. Je n’ouvrirai un groupe dans notre secteur de Palaiseau qu’à partir de 5 personnes demandeuses de participer à de telles rencontres.

Contact : Françoise Chevalier                            Tel: 06 62 35 21 78

Quels sont ces maîtres du Carmel ? ils sont connus comme Thérèse d’Avila, Jean de la Croix, Thérèse de l’Enfant-Jésus, un peu moins comme Élisabeth de la Trinité, Edith Stein, Laurent de la Résurrection,  le père Jacques de Jésus, le père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus. Leurs œuvres sont aussi variées que leurs personnalités : autobiographies, lettres, traités  didactiques, poésies.

Si tu savais le don de Dieu ! Thérèse d’Avila l’a découvert avec émerveillement et veut persuader tout un chacun qu’il est aussi pour lui, cf ce passage dans le Chemin de la perfection, chapitre 23 :

« N’ayez pas peur que le Seigneur qui nous invite à boire à cette source vous laisse mourir de soif. Je l’ai déjà dit, mais je voudrais le répéter mille fois, car cette peur décourage bien des gens qui ne connaissent pas encore, par expérience, toute la bonté du Seigneur, bien qu’ils la connaissent par la foi ; mais c’est une grande chose que l’expérience de l’amitié et de la douceur qu’il réserve à ceux qui suivent ce chemin ; Il assume à peu près tous les frais du voyage. […] Le Seigneur dit : « Demandez et on vous donnera ». Si vous ne croyez pas ce que dit Sa Majesté dans plusieurs passages de son Évangile, je ne vois guère l’utilité de me casser la tête à le répéter. J’ajoute que [ceux] qui douteraient encore ne risquent pas grand-chose à essayer ; ce voyage a ceci de bon qu’on nous donne plus que nous ne demandons et que nous n’osons désirer. »